« Appliquer en classe de biologie des théories éducatives et analyser son action pour mieux agir en classe. »
Lundi 10 mai 2010
Dans le cadre de l'atelier de didactique de la biologie à l'Institut Universitaire de Formation des Enseignants, les étudiant-e-s de première et deuxième année ont choisi d'approfondir une problématique, ont exploré son application en classe et en tirent un bilan qu'ils partageront à l’aide d’un poster.
Le colloque sera introduit par une conférence du Dr Yann Lhoste, didacticien de la biologie à l’Université de Caen-Basse-Normandie :
« L'argumentation en classe de sciences : parlotte inutile ou mise au travail des savoirs scientifique ? »
10h00 - 14h00 Présentation publique des posters des étudiant-e-s
Uni Mail - Espace 3ème étage côté Jura - à l'opposé du tram.
Cette présentation tient lieu d’examen de l’atelier de didactique de la biologie.
Avec le soutien de l'Ecole Doctorale de Sciences de l'Education (EDSE)
Organisation: François Lombard et Rémy Kopp (Contact francois.lombard unige.ch) Accès internet: http://doiop.com/didabioprojet10
Les mentalités changent et l'approche "1 gène pour une maladie ou phénotype" tend à disparaître. Toutefois beaucoup de chercheurs en publiant leurs résultats fonctionnent encore de cette manière (par nécessité et en toute connaissance de cause). Il n'y a qu'à lire les paragraphes de conclusion de nombre de publication pour s'en rendre compte (il faut bien vendre...). Et cela se répercute malheureusement dans la presse non-spécialisée qui va mettre trop souvent l'accent sur ce point. Ceci ne va pas aider à faire changer les mentalités hors des laboratoires. Cela donne de faux espoirs aux gens. Combien de fois peut-on lire dans des quotidiens "la maladie X ou Y bientôt vaincue"? Est-ce de la bonne communication scientifique?
RépondreSupprimererreur, le commentaire précédent se rapporte bien sûr à l'article du dimanche 9 mai
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